Gwenaëlle est actuellement avocate associée au sein d’EY Société d’Avocats et responsable de l’activité Tax Technology & Transformation pour la région WEM. TTT est l’activité de la ligne de service TAX d’EY dédiée à l’implémentation de solutions numériques pour répondre aux besoins des entreprises en matière d’automatisation des processus juridiques et fiscaux. Dans ce cadre, elle accompagne les entreprises dans l'élaboration de leur stratégie digitale et la transformation de leurs fonctions juridiques et fiscales.
Au quotidien, elle travaille sur des missions mêlant fiscalité internationale et informatique, qui embrassent toutes les nouvelles technologies disponibles (analytics, data visualisation, ERP, RPA, blockchain, etc.) : par exemple, les contrôles fiscaux informatisés, la FEC, le SAF-T, la facturation électronique, le paramétrage fiscal des ERP, l’archivage électronique, les solutions d'automatisation basées sur des logiciels de robotique, le développement de smarts contracts, etc.
Auparavant, elle a étépendant de nombreuses années responsable du département Fiscalité indirecte internationale (TVA/douane) d'EY Société d'Avocats et d’un autre cabinet d’audit et de conseil. Elle a également été membre du groupe d’experts TVA auprès de la Commission Européenne de 2012 à 2019.
Après des études de Droit à l’Université de Paris I Panthéon-Sorbonne, elle est devenue avocate. Elle est actuellement rattachée au barreau des Hauts-de-Seine et spécialisée en TVA-Droit douanier. C'est d'ailleurs la TVA européenne qui l'a conduit à se passionner pour l'informatique car cet impôt est géré par les ERP des multinationales depuis le milieu des années 1990. C'est aussi l'impôt qui a été le premier impacté par l'émergence de la facturation électronique et des contrôles fiscaux informatisés.
Comment contribuez-vous à “Building a better working world" ?
Gwenaëlle est présidente de l’AFNTIC (Association fiscalité, nouvelles technologies, informatique et communication), qui rassemble les avocats spécialistes de la fiscalité et de l'informatique, afin de pouvoir discuter de l'évolution de leur métier et de leurs législations avec les autorités compétentes.
À côté des dossiers qu’elle traite pour ses clients, elle participe aussi à la définition et à la mise en œuvre de la transformation digitale du cabinet d'avocats et à l'évolution du métier d’avocat.