1. La gestion des risques est une priorité absolue, mais les niveaux de confiance dans les données sont faibles
Les PDG citent la gestion des risques comme étant le domaine dans lequel ils s'attendent à mettre en œuvre le plus de changements au cours des trois prochaines années. Toutefois, peu de directeurs juridiques se déclarent "très confiants" dans les capacités de leur département à identifier, mesurer et gérer les risques complexes.
2. Les chefs d'entreprise signalent que les inefficacités contractuelles ont un impact sur la croissance des revenus
Presque tous les responsables business development déclarent rencontrer des difficultés à travailler avec leurs services juridiques sur des questions liées aux contrats. La moitié d'entre eux (50%) affirment que les inefficacités du processus contractuel ont entraîné une perte d'activité.
3. La charge de travail augmente plus vite que les budgets et les départements juridiques prévoient des réductions de coûts encore plus ambitieuses
Les directeurs juridiques s'attendent à ce que la charge de travail augmente de 25 % au cours des trois prochaines années, mais 75 % indiquent que les budgets n’augmenteront pas en conséquence. Dans le même temps, de nombreux responsables de services juridiques prévoient d'importantes réductions de coûts qui nécessiteront des changements opérationnels majeurs.
4. Les dirigeants n'investissent pas assez dans la technologie juridique et l'amélioration des processus
Les directeurs juridiques déclarent que la réduction des coûts passe par la mise en œuvre et l'utilisation de la technologie. Pourtant, les services juridiques ont du mal à obtenir de la part de leur direction un budget pour la technologie et l'amélioration des processus.
5. Les services juridiques continuent d'utiliser les méthodes traditionnelles de prestations de services malgré les défis crois-sants
De nombreux services juridiques font état de difficultés importantes concernant la gestion de leurs conseils et de l'internalisation. Dans le même temps, les options de libre-service automatisé, les centres d'excellence et les stratégies de co-sourcing semblent être sous-utilisées. Il devient crucial de trouver le bon équilibre entre toutes ces solutions.